Le Comité Social et Économique ou CSE rassemble en son sein, tous les organismes représentants du personnel. À savoir : le Comité d’Entreprise (CE), le Comité d’Hygiène, de Sécurité et des Conditions de Travail (CHSCT) et enfin, l’Instance Unique de Représentant du Personnel (IRP). Il va, donc, parler au nom des représentants élus, mais ses actions ne se limitent pas à cela.
Les chiffres clés à retenir
Depuis le 1er janvier 2020, toutes les sociétés qui comptent au minimum 11 salariés doivent bénéficier d’un Comité Social et Economique. Pour plus de 50 salariés, le CSE prend les rênes du CE, et va gérer jusqu’aux activités sociales et culturelles de l’entreprise. Les opportunités de business sont alors à la portée de nombreuses organisations spécialisées. En effet, le nombre atteint les 25 millions de salariés, pouvant éventuellement tirer profit de ces prestations.
Actuellement, l’expansion du marché reste très récente, ce qui empêche l’établissement de chiffres précis, affirme Le Mag du CSE. Par approximation, les CSE se comptent jusqu’à 30 000, seulement en France, majoritairement dans les entreprises importantes de 50 à 200 employés. Le marché du CSE reste alors très avantageux, et a un avenir prolifique dans le monde du business.
Les opportunités de business qui s’y rattachent
Lorsque le CSE vient à gérer les événements sociaux et culturels, le pouvoir d’achat des salariés est maximisé. À cet effet, il convient de déposer sur ce site votre demande d’acquérir le service des professionnels adaptés. Réellement donc, les entreprises spécialisées (gastronomie, voyage, sport…) vont largement contribuer à la réalisation de ces activités.